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Des "bases de données" fabriquées de toutes pièces trompent l'opinion publique internationale (porte-parole du Xinjiang)
French.xinhuanet.com | Updated: 2021-04-12 09:45:00

Les soi-disant "bases de données" liées au Xinjiang fabriquées par certaines forces anti-chinoises ont répandu des rumeurs et gravement trompé l'opinion publique internationale, a déclaré vendredi un porte-parole du gouvernement de la région autonome ouïgoure du Xinjiang.

Les forces anti-chinoises aux Etats-Unis et dans d'autres pays occidentaux ont concocté trois "bases de données" pour diffamer la Chine, qui sont pleines de désinformation, de rumeurs et de fausses preuves, a déclaré le porte-parole Xu Guixiang lors d'un point de presse à Beijing.

12.050 personnes sont impliquées dans ces trois soi-disant "bases de données". Après des recherches et des vérifications approfondies, les autorités locales ont vérifié 10.708 d'entre elles, découvrant que 6.962 personnes mènent une vie normale, 3.244 personnes ont été condamnées pour avoir commis des actes de violence, de terrorisme ou d'autres crimes, 238 personnes sont mortes de maladie et 264 personnes vivent à l'étranger, a précisé le porte-parole.

"Et 1.342 personnes mentionnées dans ces 'bases de données' ont été fabriquées de toutes pièces", a ajouté M. Xu.

Prenant l'exemple du soi-disant "Project de données de Xinjiang", M. Xu a expliqué que la "base de données" a été créée par l'Institut australien de stratégie politique, un organisme de réflexion qui, depuis longtemps, reçoit le soutien financier des agences gouvernementales et des marchands d'armes des Etats-Unis, et qui a fabriqué diverses rumeurs anti-chinoises.

"Il n'est pas difficile de découvrir que les trois 'bases de données' liées au Xinjiang ont été mises en place par des organisations internationales et des personnes anti-chinoises, ou même des membres de l'organisation terroriste 'mouvement islamique du Turkestan oriental' (ETIM)", a révélé M. Xu, ajoutant que derrière elles se trouvent les forces anti-chinoises des Etats-Unis ou d'autres pays occidentaux.

Un grand nombre de données et de faits ont montré que les trois soi-disant "bases de données" sont fausses et pleines de rumeurs et de fausses preuves, a-t-il poursuivi.

"Il est absolument absurde que les politiciens, les organisations et les médias de certains pays croient en ces soi-disant 'résultats de recherche' ou 'témoignages'", a-t-il indiqué.

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